Historique de l'association

Adhésion à l'association ker-hars pour soutenir nos actions : à partir de 10 euros : Chèques à expédier à cette adresse : L'écrithèque 27 rue de kergestin 29000 Quimper à l'ordre de l'association ker-hars

 

Historique association Ker-hars

1995 : Création de l’association qui a pour but la valorisation des personnes par l’expression

Création du premier numéro du journal « La passerelle »

Contacts avec tous les acteurs du quartier et les politiques : nous soumettons cette idée de création d’un journal.

Nous avions ainsi rencontré nombre de personnes à qui nous soumettions l'idée de création d'un journal fait par les habitants. Les gens n'y croyaient pas. Trop difficile à gérer, mais sans doute que face à notre enthousiasme , ils ne se sont pas opposés, et c'est surtout cela que nous souhaitions. Catherine Marc connaissait des échecs de journaux de quartier qui n'avaient pas duré parce qu'ils s'étaient mis en marge ou en opposition avec le système. Ce qui nous importait était donc que ce systéme qui disait « Aider les habitants » et qui annonçait que «  C'était aux habitants de faire des propositions » réponde donc à nos attentes. Dès le départ le journal avait une fonction de médiation, les témoignages allaient nous amener à chercher des réponses. Le journal n'était pas uniquement basé sur le fait, mais tenterait de trouver des solutions. Catherine marc formulait cela ainsi : «  il y a le fait, et puis il y a la perception de ce fait qui devient lui-même un fait » elle ajoutait : je ne suis pas objective, je ne veux pas l'être. A partir du moment ou quelqu'un vit quelque chose, même s'il n'a peut-être pas raison, je lui donne raison, car c'est son vécu. Nous avions donc obtenu un partenariat avec le centre social, la caf, et la CLCV

1996 : Adhésion à Jpresse. Il nous semblait important de savoir comment fonctionnaient les journaux aussi nous avons participé à la rencontre à Rennes avec les responsables journaux de quartiers et de jeunes en France

Réunion des associations du quartier : Pour mieux connaître les associations et les démarches associatives il fallait que l'on puisse se rencontrer. Cela avait été plus ou moins bien pris par les organismes. Ce fut une réussite , les associations étaient présentes. La problématique majeure qui avait traversée cette rencontre était le besoin de locaux. Cette réunion avait lieu à la MPT. Demande de locaux. Publication du journal : il n'était pas évident de publier le journal, et il nous fallait tout apprendre, notamment la gestion de la PAO. Nous rencontrons un peu par hasard Franck Richard, qui va travailler avec nous sur la publication en tant que maquettiste.

Partenariat  financier : contrat de ville- CAF-EDF. Le dossier que nous avions fait au contrat de ville, va s'avérer être une grave erreur. La personne dépendant de la CAF, minimisera le besoin, en disant que nous avions l'aide e la CAF pour l'imprimerie. . . 

 1997 : Le journal s’édite en braille et en cassettes vidéos à la demande d’une adhérente non-voyante : Une grande prouesse, une idée folle. Les non-voyants rédigent aussi des articles. Nous travaillons en partenariat avec l'AVH. Il se fera pendant des années, jusqu'à ce que la personne adhérente, Pierrette, décide de faire un journal elle-même au sein de l'AVH. Rencontre avec Youssef Nacib qui écrit un article pour le journal / Youssef Nacib vient sur l'invitation du collège Max Jacob et nous le rencontrons. Nous apprendrons aussi que la mairie fera son journal en braille plus tard.

L’anniversaire des deux ans du journal : ( deux journées). Organisation d’un débat intitulé «  La locale sur la sellette’Avec Yvon Rochard,, le télégramme ( 2 journalistes) Ouest-France ( Le rédacteur en Chef) , le CIJB ( le directeur de Rennes), la CAF ( Le directeur de la communication) et «  La Passerelle » ( débat qui sera filmé et qui va durer 4 heures) partenariat avec la MPT.

Organisation d’une fête avec les associations du quartier , expo + concert Dégustation de produits venant des Antilles, du Cambodge, du Maghreb, du Portugal, de la Turquie, du Sénégal, de la Bretagne…

Cette idée fut tout d'abord mise à l'écart par le directeur de la mpt , mais nous avions fait une demande de financement pour cela dans le cadre de l'aide aux associations et nous l'avions obtenu et surtout la Presse nous avait donné son accord pour nous aider. Partenariat  financier : contrat de ville- CAF- EDF

 1998 : Création d’un emploi jeune. Obtention de locaux à partager avec l’association «  Balles à fond) Edf pense à faire ses factures en braille.Réunion des associations du quartier ( 40 personnes) Partenariat  financier : contrat de ville- CAF- EDF, ETAT Contrat avec EDF pour une aide pour toute la durée de l’emploi jeune.

1999 : L’écrithèque ouvre ses portes rue de Vendée. Avant d'avoir nos propres locaux nous étions à Kergestin avec l'association Balle à Fond qui a été créé en 1996. Il est intéressant de mesurer la différence d'aides entre cette association et la nôtre. Mais nous le savions, l'écriture, les habitants est une dure loi politique qui un jour sera peut-être controversée, car nous pouvons dire : oui, c'est l'argent du contribuable! Locaux inaugurés avec le Maire ( nous invitons 300 personnes) Distinction par le centre du volontariat : remise d’une coupe . Ecriture d’une nouvelle à plusieurs dans le cadre d’un concours de la ville de Morlaix.Exposition photos à la fête du quartier ( 150 photos)

Nous innovions en la matière, car généralement les associations venaient pour cette fête pour vendre de la «  Bouffe » .

 Stephane Blouquin reçoit le premier prix du jeune talent au festival de la Bd de Perros Guirec Participation au festival de Douarnenez

 2000 : 2 articles dans dimanche Ouest- France. Organisation d’une expo photos avec les élèves des beaux-Arts et des demandeurs d’emplois ( 150 personnes au vernissage) Subvention de la Fondation de France pour l’achat de matériel informatique.Participation au festival de Douarnenez

Partenariat  financier : contrat de ville- CAF- EDF, ETAT

 2001 : Concours de poésie avec le centre culturel Leclerc et 4 écrivains 45 participants , les poèmes primés mis en scène avec Yan Dénécé et sont présenté dans un bar qui n'existe plus aujourdh'ui avec en accompagnement un pianiste , la lecture de textes sera faite avec Said et Louis Bertholom. Article dans le journal « La Croix » pour la participation associative pour l’anniversaire de la loi 1901 Mise en place du poste d’adulte relais

Rencontre avec les administrateurs de la Sauvegarde dans nos locaux : Nous constituons un dossier que nous intitulons les «  Enfants de L'écrithèque » . Ce dossier pour interpeller la ville ou les services sur la présence des enfants. Nous chiffrons le nombre d'enfants que nous recevons et nous demandonc à la ville des solutions par rapport à notre responsabilité pour l'accueil. N'obtenant pas de réponse nous prenons contact avec la Sauvegarde. Ils vont donc se déplacer et nous rencontrer. Une rencontre très intéressante et sympathique. Rencontre avec les travailleurs sociaux dalits . Intervention dans une école à Pont-l’abbé à la demande d’une élève. Participation au festival de Douarnenez

Nous recevons aussi régulièrement des stagiaires venant d'organismes de formations. Partenariat  financier : contrat de ville- CAF- EDF, ETAT, Conseil général EDF

2002 : Expo : «  les petits rien de la vie en Inde «  Journal  avec les SDF pour la journée du refus de la misère

Travail en collaboration avec les élèves du Paraclet. Organisation de la représentation de la pièce de théâtre de Saîd au Théâtre Max jacob Convention avec IF pour l’accueil des jeunes Expo photos Franck Richard

Réalisation d’un journal pour les jeunes avec la Mission locale.Participation à la fête des cabanes avec le centre de loisir Achat- d’un duplicopieur (impression en interne) Participation au festival de Douarnenez

Partenariat  financier : contrat de ville- - EDF, ETAT, Ville, Mission Locale

2003 : Première convention avec le CAFP ( Suivi de jeunes en difficultés toute l’année) réalisation d’un journal

 Nous sommes un « sas » pour de nombreuses personnes isolées et notre rôle est la médiation. Nous faisons donc le lien entre ces personnes qui ont du mal à aller vers les institutions et les structures compétentes pour répondre à leurs problèmes. Partenariat avec l’association « Les enfants de la Baltique » Présentation et organisation de la pièce de théâtre «  Amar fait son cirque » Accompagnement d’élèves en IUT. Proposition des stages d’écriture Participation au festival de Douarnenez Partenariat  financier : contrat de ville- - EDF, ETAT , CAFP

2004 : Suivi de stagiaires : en Formation de formateur, en troisième année d’ESF. Partenariat avec l’école Chaptal ( projet de jeunes) Participation au festival de Douarnenez Partenariat  financier : contrat de ville--, ETAT , CAFP

 Rapport d’Activités KER-HARS 2004

 L’Ecrithèque : L’accueil :

L’écrithèque est ouverte du mardi au samedi, parfois le lundi suivant la demande. Par ailleurs nous organisons des réunions le soir par rapport à la disponibilité des gens.

Suivi individualisé :

Tout au long de l’année l’association vient en aide aux personnes qui demandent une aide dans le cadre soit d’une formation à envisager, d’études à reprendre ou d’une orientation à définir. Nous prenons le temps pour aider au cheminement d’une réflexion , d’une façon individuelle, et pour cela les temps de suivis se font sur toute l’année. Il y a d’une part le moment de la recherche, puis la mise en place des dossiers, puis l’aide au moment même de la formation

. Véronique : préparation du DU d’éducateur spécialisé

- Franck : création d’entreprise

- Pierre : préparation du concours de moniteur auto-école

- Marie : préparation de concours universitaire

- Marianne : conseils pour l’orientation

- Dominique : Conseil d’orientation et préparation dossier

- 8 stagiaires

Exposition photo Franck Richard

- Communication Presse et invitation

- Buffet pour le vernissage

- Ateliers d’écriture avec les photos comme support

- Impression d’un recueil

- Une cinquantaine de personnes présentes.

Lecture animé du Livre « Echanger et Changer »

Ce livre édité par l’association le «  Chemin de l’espoir » a été l’objet d’un accompagnement de C. Marc pour sa réalisation finale. C’était après avoir reçu les indiens dalits dans notre local.

- Communication Presse

- Conception et diffusion d’affiches

- Invitations

- 18 personnes présentes.

Formation en interne de Gwendal

- Mise en page : QuarkXPress-Photographie : prise de vue et cadrage, photoshop-Ecriture et animation d’atelier d’écriture.

Accueil

- Enfants du quartier : une trentaine d’enfants environ viennent à l’Ecrithèque plus ou moins régulièrement pour écrire, dessiner, discuter, rencontrer d’autres enfants dans un lieu informel ou simplement pour s’occuper. Nous demandons aux enfants de prendre une adhésion à l’association, pour l’assurance, cela est très difficile à obtenir, aussi nous faisons le choix de moins intervenir auprès d’eux, tout en les recevant quand ils viennent.

- Public Cotorep avec suivi psy : quatre personnes en suivi psychiatrique viennent régulièrement à l’Ecrithèque en raison d’un lien fort qu’ils entretiennent avec l’écriture. Le caractère particulier de leur handicap demande de leur consacrer une attention particulière.

- Tout public : l’aspect informel des rencontres est très important au sein de nos locaux. Beaucoup de gens viennent, (difficile de quantifier) simplement pour dire bonjour, prendre le café, discuter. ( nous avons à peu près un passage d’au moins 15 personnes dans la semaine. )

- De ces rencontres se mettent en place des projets, des idées, un lien social.

Aide au courrier et CV : une vingtaine de personnes

 

Ateliers d’écriture

- Communication : Presse, création et diffusion de fly et affiches

- Ateliers d’écriture hebdomadaire : une trentaine de participants

- Préparation du dossier FSE 10b en vue de faire connaître les ateliers d’écriture et de les rendre accessibles pour les demandeurs d’emploi

- Enquête auprès des structures sur l’association. Un questionnaire dont les réponses sont plus qu'élogieuses et situent l'association comme un lieu porteur dans la cohésion sociale.

- Continuité du contrat des ateliers d’écritures avec les CAFP une semaine sur 2

- Ateliers d’écriture « manche aux mots » pour la journée mondiale du refus de la misère

- Ateliers d’écriture lors d’une rave avec une quarantaine de jeunes.

Contact avec divers organismes pour la mise en place d’ateliers ; Nous souhaitons pouvoir les mettre en place dans les maisons de retraite par exemple. Les ateliers d’écriture correspondent à la possibilité de faire évoluer l’association pour pouvoir avoir une autonomie financière. L’objectif est que cette pratique soit l’essentiel de l’activité de l’association.

Le dossier FSE va dans ce sens pour les proposer au public en difficulté. Demandes de subventions : Beaucoup de contacts, beaucoup de temps pour l’élaboration dossiers de demande à la ville au conseil général peu de résultats. Quand on demande des aides pour les subventions ordinaires on nous ramène au Contrat de Ville. Nous n’avons pas obtenu d’aides pour les 10 ans de l’association pour l’instant Les ateliers d’écriture dépassent largement le cadre du quartier.

 

Journal La Passerelle  Edition ordinaire : 5 numéros

- Accueil et accompagnement vers l’écrit- Réunions-Saisie de textes et mise en page-Impression-Invitation pour la sortie du journal-Vente et distribution-Rencontres diverses pour le journal-Communication presse-Créations BD.

Une trentaine de personnes interviennent pour chaque numéro. ( On retrouvera une dizaine dans chacun )

Journal CAFP

- Saisie des textes et mise en page-Impression- Ateliers d’écriture adaptés

Journal hors série les jeunes et l’initiative (en cours)

- Rencontre avec la DDJS-Conception d’un questionnaire sur l’initiative à destination d’une centaine de jeunes

- Diffusion du questionnaire-Mise en place de réunions ( une vingtaine) pour une dizaine de participants.

Rencontres des élus pour défendre le projet associatif.

En cours : la création d’un site internet.

Les limites : Il nous faudrait pouvoir déléguer plus de travail comme celui de saisies de textes par exemple. D’autres part la fin de l’aide à l’emploi jeune est un handicap, car plus d’actions doivent être faites par des bénévoles qui n’ont pas forcément le temps nécessaire ou qui ne peuvent faire le suivi des dossiers. Si nous pouvons développer les ateliers cette animation sera la principale activité, mais elle restera en lien avec le journal. L’objectif serait alors au terme de l’aide pour l’adulte relais de pouvoir mettre en place une dizaine d’ateliers comme ceux avec le CAFP, plus les ateliers individuels à thèmes. Nous allons donc demander une participation de 40 euros pour 6 séances de 2 heures. Le côut d’un atelier pour les contrats avec les organismes est de 53 euro de l’heure pour un groupe de 10 personnes. Ceci peut être discuter suivant les contrats. Le développement des ateliers passe par une publicité car ils sont complètement méconnus. L’idée serait aussi de travailler avec des organismes de formation.

Pour l’emploi il faudrait pour un financement total à hauteur d’un côut ( 27 000 euro) un peu au-dessus du smig  : 10 ateliers ( contrats organismes) et 15 ateliers de 6 séances. En nombre d’heures auprès du public : 320heures + 180 heures si on compte une prestation de deux heures.

 

Rapport adulte relais 2004 : Gestion au quotidien de l’accueil- conseil- médiation L’association doit se séparer de l’emploi jeune, le rôle de l’adulte relais va être d’accompagner ce départ pour permettre l’ orientation vers la formation ou le travail ; Publication de trois journaux pendant l’année et d’un journal avec la CAFP Les jeunes de l’association font un sondage auprès d’autres jeunes sur la thématique de l’initiative ; Accompagnement de l’adulte relais pour l’aide à la rédaction du questionnaire, conseils pour la mise en place de ce questionnaire. Le travail ne sera pas terminé : c’est--à dire l’analyse des résultats car les deux jeunes responsables du projet vont l’un et l’autre trouver une formation ou un travail. Ce qui était en filigrane l’objectif de ce projet ;

Enquête auprès des structures sur la thématique du développement des ateliers d’écriture : objectif : préparation du dossier FSE10b :

Repérage du contexte :  Nous avons élaboré un questionnaire qui a pour objectif d’être un indicateur pour le micro projet. Nous voulions vérifier les possibilités de partenariat , les aspects pluriels : comme l’ appréciation de l’association  ou comme les limites de chacun . Nous ne faisons pas ici une analyse scientifique ou sociologique, notre propos est de donner des éléments qui sont une approche pour la construction du projet .Ce questionnaire a été expédié a 21  structures dans notre environnement. Nous avons 10 réponses. Sur 21 structures il y a 6 écoles ,  seule une maternelle a répondu 7 structures qui travaillent autour de l’accès à l’emploi  ( ANPE, Mission Locale, BIJ, CIDF et 3 organismes de formation et insertion : I.F, I.BE.P., Objectif Emploi : nous avons 6 réponses. 6 structures qui ont pour mission l’action sociale dépendante  des collectivités territoriale : aucune réponse, 4 associations ( CLCV, MPT, ARPAC, Espace Solidaire) : deux réponses, la bibliothèque qui est évidemment un lieu ou l’écriture, la lecture est une fonction principale. Les missions des structures questionnées : CIDF / femmes à la recherche d’un emploi (action spécifique d’accompagnement sur le quartier, le CIDF ayant un autre local pour les droits à Quimper),Mission locale : les jeunes, IBEP ,I.F, Objectif Emploi : Organisme de formation et d’insertion, MPT et Centre Social  : Animations et aides sociales du quartier à Kermoysan, ARPAC : personnes âgées, Autres : structures recevant des personnes en difficultés Par ailleurs une association n’apparaît pas «  horizon nouveau » avec laquelle nous avons commencé à penser à un projet avec les SDF (La responsable vient de subir un grave problème de santé) Analyse des réponses : Nous constatons avec plaisir que d’une manière générale les organismes nous perçoivent d ‘ une manière positive Nous constatons également que l’atelier d’écriture est une activité qu’ils  estiment nécessaire. Nous avons auprès des organismes une bonne image par rapport à l’accueil du public. Par contre les difficultés pour travailler en partenariat sont d’une part d’ordre financier, et d’autre part un problème de temps. Pour avoir des indicatifs sur le micro-projet à savoir la mise en place d’ateliers auprès des publics en difficulté nous avons questionné  sur la complémentarité : le lieu est repéré comme un lieu «  unique », comme un espace d’expression , un espace de communication, un espace inter-structure. Il est donc possible de travailler en inter-action. Mais nous pouvons aussi percevoir qu’il y a un besoin d’information sur notre activité. Ce qui paraît logique par rapport à la nouvelle prestation.

Ce questionnaire confirme donc notre hypothèse de départ pour le travail a effectué :

1) rencontre avec les organismes

2) Identifier l’aspect financier et contractuel

3) Se définir sur le territoire comme partenaire

4) Pouvoir proposer des ateliers suivant ces critères

5) Définir un temps par rapport à leur temps

 

2005 Articles télégramme Mise en place d’ateliers avec la MJC de DouarnenezAide de l’Europe Interventions à la bibliothèque de Penhars, à Plogonnec, avec un public d’enfants et avec des handicapés de l’IME. Interventions au CCAS, à l’Epicerie Sociale…Intervention sur deux journées avec eaux et rivières de Bretagne à la ferme de Kerlavic ( Ateliers avec les enfants de diverses écoles du canton 120 enfants ont participé)

Partenariat  financier : contrat de ville--, ETAT , CAFP- Europe FSE 10b Nous avons donc sur le FSE travaillé avec 139 personnes. Suite à cela : convention avec la bibliothèque et mise en place d’ateliers d’écriture à la MJC de Douarnenez, à l’écrithéque; Mise en place d’outils de communication, plaquettes à destination de tous, et plaquette à destination de professionnels. Pour cela nous avons donc financer avec le FSE l’intervention de Franck Richard et d’Aurélie Jézékel Mise en place du site internet Création de marques pages pour les ateliers Financement d’un poste à mi-temps pour Gwendal, qui a en même temps a passé un DAU. ; Le constat que nous pouvons faire par rapport aux interventions, c’est que les publics en grandes difficultés sont favorables à l’intervention, il n’y a pas d’opposition, par ailleurs lorsque dans les cas les plus difficiles il y a eu intervention nous avons vu que cela provoquait un élan de dynamisme, après l’atelier les personnes devenaient volontaires pour faire leurs démarches. L’atelier leur donnait envie de réagir, d’être actif. C’est quelque chose qui est un des effets des ateliers que nous n’avions pas décelés jusqu’à présent. Par ailleurs le travail qui a été fait à la bibliothèque avec des adultes handicapés mentaux, a été aussi très positif. Il est clair qu’il faut s’adapter au public à chaque fois, et élaborer en amont un travail méthodologique qui nécessite plusieurs versions.

Nous continuons à recevoir des stagiaires. Aujourd’hui, il est plus difficile de rencontrer la population à cause des interphones. Convention CAFP ( Travail d’écriture avec des jeunes pendant toute l’année, tous les quinze jours) Accueil et aide à la rédaction de CV et de lettres de motivations, suivi personnalisé Regards sur les étapes de la destruction de la tour : Photos Un moment fort pour nous, car dans le CA nous sommes plusieurs à y avoir habiter. Convention eaux et rivières de Bretagne : Deux journées d’ateliers d’écriture sous un chêne à la ferme de Kerlavic. ( 90 enfants avec parents ou instituteurs)

DlA : analyse des besoins de l'asso : Etre un lien entre des personnes qui sont souvent isolées et qui n’ont pas les ressources (culturelles et matérielles) suffisantes pour trouver eux-mêmes les solutions à leur isolement. Le dynamisme des rencontres entre les personnes participant à des ateliers proposés par l’association leur redonne confiance en eux-mêmes.

1. Servir de lieu d’intermédiation et parfois de médiation entre les habitants du quartier et les usagers de l’association et les institutions publiques qui ne sont pas toujours facilement abordables.

2. A travers les activités proposées, l’association souhaite favoriser la valorisation et la reconnaissance des adhérents en leur permettant de s’exprimer oralement et par l’écriture et en leur permettant de publier leurs écrits dans un journal diffusé à 500 exemplaires 5 fois par an.

3. Favoriser l’intégration sociale et professionnelle des bénéficiaires des activités de l’association par l’aide à la réalisation de documents de présentation et par l’accompagnement dans certaines démarches administratives.

4. Proposer l’accès à la culture en développant l’apprentissage à la lecture, en luttant contre l’illettrisme, en organisant l’accès aux bibliothèques et au cinéma.

5. Participer à l’action collective de réhabilitation et de redynamisation du quartier de KERMOYSAN en occupant une place spécifique de représentation d’une partie de la population locale.

LES PRESTATIONS ET LES ACTIVITES PROPOSEES

La première activité proposée est la réalisation et la diffusion du journal « La Passerelle ». En 10 ans, près de 40 numéros sont parus. Le journal est diffusé 4 à 5 fois par an en 500 exemplaires. Il est réalisé par une équipe de 30 personnes pour chaque numéro qui s’associent pour écrire les articles, les nouvelles basés sur des témoignages de vie, sur l’actualité locale, sur la vie culturelle, sur des initiatives lancées par des habitants, …

Le journal est vendu 2 euros l’exemplaire, non pas pour en faire une activité lucrative mais afin de valoriser concrètement l’action des participants (rédacteurs, réalisateurs, maquettistes, diffuseurs, vendeurs,…) Il est diffusé par l’intermédiaire de dépôts / vente ou par la vente directe dans le quartier, le vendeur touchant 1 euro par exemplaire vendu.

 

La deuxième activité importante de l’association est l’accueil permanent du public. En effet, l’association, bien implantée dans le quartier, est très proche de la population locale qui vient chercher auprès d’elle un lieu de rencontre et d’échanges et un espace de soutien et d’accompagnement dans les diverses démarches administratives. Ainsi, l’association aide à la réalisation de courriers, de CV ou de lettre de motivation pour des personnes à la recherche d’un emploi. Elle favorise le rapprochement entre les habitants du quartier et les institutions « officielles » en servant d’intermédiaire et de « médiateur ». Des rencontres et des animations festives (fêtes de quartier, tombolas, manifestations diverses,…) incitent également à la lutte contre l’isolement des personnes et à créer du lien social indispensable à une intégration harmonieuse de toutes les composantes de la population du quartier.

 

Enfin, la troisième activité développée par l’association KER HARS est la mise en place d’ateliers d’écriture qui s’adressent à toutes les personnes intéressées mais en particulier aux publics en difficulté. L’écriture n’est pas une activité qui va de soi. Les difficultés d’écriture sont souvent liées à des ruptures scolaires et des conditions de vie individuelles difficiles. Il n’est pas simple ensuite de surmonter ses craintes face à ce mode d’expression que l’on ne maîtrise pas parfaitement. Or, l’écriture est essentielle dans la vie quotidienne que ce soit pour rechercher un emploi (CV, lettre de motivation), faire une simple démarche administrative (logement, demande d’aides financières,…), accompagner les enfants dans leur environnement (école, clubs sportifs, activités pendant les vacances, ….) ou exprimer des émotions ou raconter des histoires qui tiennent à cœur.

Les ateliers d’écriture animés par l’association KER HARS par le biais d’exercices ludiques sont l’occasion pour les participants de faire des rencontres, d’échanger. Ils les aident, par le biais de l’écriture, à rompre leur isolement, favorisent la transmission des savoirs et l’expression des émotions et développent la valorisation des personnes. Les participants reprennent confiance en eux en développant leur capacité à s’exprimer à l’oral et à l’écrit.

Un atelier d’écriture est une rencontre d’une dizaine de personnes animée par l’animatrice qui propose plusieurs approches généralement ludiques de l’écriture. Chaque participant reste libre de sa « production ». Il a la possibilité de transmettre sa création soit oralement soit en la publiant dans le journal « La Passerelle » ou même de participer à l’édition d’un recueil des différents écrits.

Un atelier d’écriture dure 3 heures par jour sur une période de 3 jours consécutifs ou non.

 

 

LES POINTS FORTS

 

° L’association existe maintenant depuis 10 ans. Elle est passée par des hauts et des bas. Elle a toujours su rebondir et se maintenir active dans le quartier de Kermoysan-Penhars classé en ZEP et dans la ville de Quimper. De par sa vitalité et de par les actions et les activités qu’elle a développées, l’association est très ancrée dans le quartier où elle favorise l’échange et la rencontre entre les habitants. Depuis dix ans, elle a aidé ou accompagné plus de 900 personnes sans parler de tous ceux qui sont venus chercher un renseignement.

Grâce à son positionnement, elle sert d’interface et joue un rôle de médiation entre les habitants du quartier et les institutions « officielles » qui ne sont pas toujours faciles à aborder. Elle participe de fait à l’action collective de réhabilitation et de redynamisation du quartier de KERMOYSAN en occupant une place spécifique de représentation d’une partie de la population locale.

° La philosophie et les compétences de la responsable de l’association, fondatrice et animatrice du projet, sont les éléments clés de la réussite de l’association KER HARS. En effet, le concept de l’utilisation de l’écriture comme moyen de développement personnel pour des personnes plutôt défavorisées est relativement original. Encore faut-il mettre en oeuvre des compétences à la fois d’animation sociale et à la fois de maîtrise de l’écriture. C’est ce qui fait toute la valeur de l’engagement de l’animatrice.

° Du fait de cet engagement de l’association dans le quartier et également du fait d’une bonne politique de communication dans la presse locale, l’action de KER-HARS bénéficie (ou a bénéficié) d’une bonne reconnaissance par les pouvoirs publics locaux (conseil général, ville de Quimper, DDTEFP,…), par les institutions locales (ANPE, missions locales) et par les partenaires associatifs (CIDF, organismes de formation, CLCV, MPT, ARPAC,…).

Sans doute, faut-il aujourd’hui revoir et repenser le projet pour tenir compte des évolutions du contexte et de l’environnement.

 

Les points faibles

 

° La vie associative de l’association n’est pas suffisamment développée et structurée. Bien qu’il y ait toujours eu des bénévoles pour accompagner la structure, celle-ci repose essentiellement sur la fondatrice de l’association qui a porté et développé le projet initial. De plus, on ressent une certaine lassitude chez les différents acteurs (salariés et bénévoles) après dix ans de fonctionnement. Comment le projet associatif est-il réfléchi aujourd’hui ? Quelles valeurs, quelle philosophie fédèrent les bénévoles et les salariés de l’association ? Quel est le sens des actions menées aujourd’hui par KER HARS ?

Les documents associatifs (convocation aux réunions, procès-verbaux des conseils d’administration et des assemblées générales,….) ne sont pas optimum. Ils demanderaient à être plus structurés et plus formels.

° L’association est économiquement très fragile. Elle dépend à 95% de subventions publiques qui ne sont pas acquises sur du long terme. Il faut sans arrêt se battre pour obtenir des subventions et / ou ajuster les charges (en particulier de personnel) pour trouver un minimum d’équilibre financier. L’association a déposé une demande de subvention dans le cadre de la mesure FSE 10b et elle l’a obtenu pour développer des actions d’ateliers d’écriture auprès de publics en difficulté au cours des années 2005 et 2006. Mais, il faut déjà préparer l’avenir pour assurer la pérennité de la structure. Comment développer les recettes propres qui donneraient plus d’autonomie et plus de lisibilité ?

° L’association n’est pas suffisamment structurée en termes organisationnels (comptabilité, suivi du temps de travail, planning, objectifs fixés et évaluation des résultats,…). Pourtant, elle doit « rendre des comptes » aux différents financeurs qui lui apportent leur soutien. Il devient donc indispensable d’optimiser l’organisation interne pour être plus transparent et mieux reconnu du point de vue organisationnel.

 

Rapport adulte relais : 2005 : Obtention du FSE 10b Travail conséquent qui est un enjeu pour l’association et le développement économique et local, qui correspond à la mission de l’adulte relais :

1) Développer l’association-Trouver d’autres budgets ( points soulevés par nos partenaires contrat de ville)

2) mettre en place des actions visant à chercher une autonomie financière- Développer les compétences professionnelles

3) spécifiques à l’adulte relais, le terme du contrat arrivant à échéance . Développer un enjeu social et culturel basé

4) sur l’initiative et une nouvelle forme d’activité non explorée sur le territoire

 

Interventions : CCAS, Epicerie Sociale, Ecrithèque,

Mise en place d’outils de communication

 

 

2006 Le journal

 En ce qui concerne le journal, il va être difficile en cette année 2006 d’en éditer, ce qui ne veut pas dire que nous ne recevons pas les écrits, au contraire, mais nous allons différer sa publication, déjà parce que sans Gwendal, il y a le proplème technique de l’imprimerie + PAO + réécriture, + frappe de textes, cela devient très lourd à gérer pour une seule personne, étant donné que les bénévoles n’ont pas de compétences techniques. Mais on le fera quand même, ça ne remet pas en cause son existence, cela va demander un temps d’adaptation. Il serait bon aussi de prendre un temps pour repenser le journal, qu’un partenariat avec les institutions soit plus important.

Nous avons en plus un problème avec le dupli copieur.

En fait en ce qui concerne le quartier et le projet urbain c’est assez difficile d’en parler, car tout le monde est dans l’attente. C’est dommage qu’ils ne nous donnent pas de budgets pour faire un vrai travail d’écriture sur le quartier. On ne peut pas demander à C. Marc de faire en plus de la gestion + la PAO, + l’imprimerie + l’aide aux textes et l’accueil + les budgets, et en plus d’organiser des ateliers pour une rémunération au SMIG, C’est un plus pour l’association de compétences mais cela ne doit pas être gratuit, et aussi pour notre autonomie financière. Se pose bien sûr la question du bénévolat qui n’est pas stable ce qui est logique car notre but est de permettre aux personnes qui viennent de s’en sortir et donc de s’en aller vers des formations ou des emplois, ce qui évidemment les rend moins disponibles, et on doit à chaque fois redistribuer les rôles. Mais c’est aussi notre raison d’être et elle est primordiale.

Mais le rôle de l’association est le même, ce qui change c’est notre outil, car pour l’instant C. Marc écrit un livre sur les gens de la tour, ce n’est pas le même travail, il s’inscrit aussi dans un travail de mémoire, cela demande évidemment du temps. Et cela permet aussi d’impliquer les gens vers autre chose, une autre dimension, il faut une grande écoute.

La publication des journaux à mobiliser au moins vingtaine de personnes à chaque fois Se pose le problème de la vente : difficile d’avoir des vendeurs , il sera bon d’en discuter avec la MPT quand le moment s’y prêtera.

Le FSE nous a obligé a avoir une grande rigueur dans notre travail, cela a été plutôt positif, même si les contraintes sont importantes et que cela demande un travail administratif important , cela permet aussi de faire une meilleure analyse de notre action.

C’est une des conséquences pour laquelle nous souhaitons faire une pause par rapport au journal , et le reprendre dans un concept ou construire un gabarit qui sera repris à chaque fois.

L’aide des professionnels du quartier serait pertinente. Mais sans doute faut-il attendre que les décisions soient prises par rapport au nouveau plan urbain.

Le public : Nous recevons toujours les enfants, mais avec les réserves que nous devons avoir à cause des assurances. Par ailleurs nous faisons des suivis personnalisés, pour lequel nous n’avons pas de comptabilité au niveau du temps, c’est sans doute ce point qui serait à faire valoir, en plus de l’accompagnement vers l’écriture en complémentarité avec les autres services. Aide à la rédaction de CV, de lettre de motivations, de dossiers. Nous avons pu aider par exemple un jeune qui voulait faire moniteur auto- école à faire le mémoire qui lui était demandé ( Il a eu une très bonne note) .

Mais le travail n’est pas seulement écrire, le travail est pédagogique et requiert la compréhension à chaque phase de l’écriture : qu’est-ce que c’est qu’une méthodologie ? Comment lire les consignes ? Comment y répondre ? Quels sont les savoirs obligatoires ? Quelles sont les compétences exigées ? De la même manière nous avons aussi accompagné une jeune femme qui voulait entrer en formation d’éducatrice de chiens pour non-voyants.

Nous intervenons aussi dans une démarche d’aide à l’orientation. Par ailleurs pour mieux définir nos prestations, nous aidons à la rédaction de courrier personnel, cela peut être à destination d’un membre de la famille, d’un avocat, d’un huissier ou vers des assurances … Pour la plupart des interventions, elles se situent en fait en amont d’une rencontre avec un professionnel comme l’ANPE, ou La Mission Locale, ou les Assedics, ou avant un entretien.

Nous avons eu l’occasion de faire des simulations d’entretiens. Ce travail est surtout profitable pour mettre la personne en confiance. Comme nous l’avons toujours dit nous sommes un «  SAS », entre l’intention de démarches et sa réalisation.

Nous chiffrons à peu près à 150 personnes reçues. Nous ne comptabilisons pas les passages.

Dominique le Clech, présidente part pour poursuivre ses études en Dordogne, nous allons donc voter pour une un nouveau Bureau et Président.

Pour conclure : Les ateliers sont un moyen de développement de l’association, un nouvelle activité sur le quartier, un moyen à terme de pérenniser un poste, il faut alors que nous puissions avoir des interlocuteurs pour nous aider à les développer. Nous espérons qu’un vrai projet autour de l’écriture soit accordé par le contrat de ville.

Nous avons fait des dossiers pour montrer ce que sont les ateliers. Si le poste d’adulte relais a pour principale action l’accueil et le suivi, la partie expert par rapport à ses compétences doit aussi être reconnue. ( Elle l’est par le biais des conventions) Si on pense poste de travail, il faut que nous puissions obtenir des moyens par rapport à ce que nous apportons de spécifique comme toutes les associations qui proposent des activités. Ont été élu au conseil d’administration : Claudine Tilly, Roselyne Mosset, Yvette Coadou, PaTrice Thomas, Pierre Gérot, Monique Mélec, Monique Souverval, Claudine Tilly, Aurélie Le bris, Christine Sébire, Claude Laouanan, Aurélie Jézékel, Marie Marc,

 2006 : Conventions MJC Douarnenez, Bibliothèque, CAFP, Eaux et Rivières de Bretagne 5 pour les ateliers d’écriture) adultes et jeunes Le journal est donc à sa 37ème publication, nous avons publié une nouvelle, 4 journaux avec des jeunes et un journal avec les SDF. 2007 : Reconduction de la convention Adulte relais. 2006 : Suppression du poste de Gwendal Manach’ faute de financements ; Continuité par rapport à l’accueil Travail de récolte de témoignages sur la vie des gens dans la tour ( Elaboration de l’écriture d’un livre)

Entretiens. Création d’un album photo sur la tour ; L’intention est de s’en servir dans le cadre de la proposition de projet intitulé : ZUT : ( Zone Urbaine à textes) Projet qui pour objectif de travailler sur la thématique de l’écriture et l’espace.

Projet ajourné à deux reprises par le contrat de Ville, qui est toujours d’actualité dans le cadre du nouveau projet urbain ,

C’est aussi un travail de mémoire. Organisation d’ateliers d’écriture : MJC Douarnenez, MPT de Penhars, Ecrithèque En attente d’un accord d’interventions à l’école ,MAX JACOB Distribution de 1200 plaquettes dans les boîtes à lettre avec des habitants. Suivi personnalisé de personnes. Convention avec le centre de Loisirs de kergestin : Objectif : créer un espace d’écriture pour les enfants. Reflexions sur le journal «  La passerelle » : L’adulte relais arrivant à son terme l’association Ker-hars ne peut s’engager formellement, toutefois le journal doit continuer. Nous décidons que nous allons donner plus d’importance à l’écriture d’un livre cette année, une variante du journal sous une autre forme car l’auteur est l’adulte relais. Problème technique avec le dupli copieur

 

2008 : Zut et Zet Notre association persévère dans l’idée d’apporter des créations autour de l’écriture. Nous avions commencé à nous interroger sur un projet fédérateur autour du mot, et de l’écrit en 2007. La prise de contact avec les institutions ou structures diverses du quartier a été positive. C’est donc ainsi que nous avons pu mettre en place le programme Zut et Zet  et éditer un recueil de textes. Ce qui veut dire un travail conséquent pour la saisie des textes, pour la mise en page, et aussi pour le travail de graphisme. Et bien entendu pour le travail de Cathie qui a créé le concept et sa mise en application .

Ceci a eu comme conséquence de permettre de mettre en relations des personnes, ce qui est aussi notre objectif. Partenariat avec les structures et aussi avec le Télégramme. Nous avons aussi préparé une exposition des écrits pour la fête du quartier en juin, malheureusement le temps n’a pas été aidant pour la mise en valeur de cette exposition. Toute idée autour d’écriture demande un investissement très important. Rien de ce que nous proposons autour de l’écriture va de soi. C’est pourquoi nous tenons à remercier très fortement les bénévoles qui se sont impliqués. Nous avons aussi proposé un concours de nouvelles et de poésies. Là aussi la gestion entre la réception des textes, la diffusion de l’information, la création d’affiches, la mise en place du jury, la décision des prix, la recherche de «  cadeaux », de sponsors et la remise des prix a été un travail assez conséquent. Mais nous sommes heureux de voir que tout ce travail porte ces fruits.

Par ailleurs les ateliers d’écriture se multiplient. Nous proposons des ateliers aussi à la MPT et au LAC à Loctudy, notre objectif serait évidemment de le faire dans d’autres lieux.

Le partenariat avec «  Eaux et rivières de Bretagne a été reconduit ».

Catherine Marc est aussi intervenue au CCAS EDF pendant l’été. Nous espérons que cela sera reconduit en 2009.

L'idée de «  Zut et Zet » a été reprise par le centre social pendant Zut et Zet , nous avons ainsi eu la surprise de voir des boites à textes posées dans différents lieux. Nous déplorons bien sûr ce manque de concertation : toujours le problème de l'initiative des habitants.

Nous avons aussi été sur le Festival du livre à Ouessant : deux ateliers par jour ont été proposés : le matin pour les enfants et l’après-midi pour les adultes. Les conditions de travail, l’organisation, la communication mis en place par le festival ont permis de réaliser des ateliers plus que sympathiques avec la présence d’écrivains.

Nous avons aussi travaillé sur un projet qui tenait à cœur à Catherine Marc qui est de réunir tous ceux qui écrivent et qui n’ont pas les moyens ou si peu de se faire connaître. Ce projet a été construit et présenté à la Mairie en fin d’année, avec un avis favorable de la Mairie. Nous devons aussi préparer notre déménagement pour janvier 2009. Ce qui veut dire passer cette information et communiquer.

En conclusion nous pouvons dire que l’association progresse dans les actions, le public évolue car il vient de partout et nous aussi nous allons ailleurs. Notre intention est de développer encore tout ce qui est dans le domaine de l’écriture car étant proches des gens du quartier, de la ville et d’ailleurs avec comme souci principal la valorisation des personnes qui est le but de l’association nous restons mobiliser pour inventer des concepts susceptibles d’être l’émergence de rencontres qui elles-mêmes favorisent les initiatives. Au-delà de cela c’est aussi permettre à chacun de s’exprimer vraiment.

Participation à le Nuit de l'écriture à Berrien

2009 : L'association s'installe au 27 rue de Kergestin. Nous proposons donc un pot pour l'ouverture

Nous rencontrons Marc Morvan et lui proposons de faire quelque chose avec Béatrice Lacroix au College Max Jacob et ses élèves FLE et l'écriture : le projet s'intitulera : Sculpture d'écriture . Aide à la réalsiation d'un journal à l'école du bourg de Penhars reconductions ateliers à al MPT– au LAC Ateliers à Chateaulin ( tentative au Run-Ar Puns )

Sortie du livre : Les passerelles de l'écriture

Le quai des Ecrits : Première rencontre des auteurs indépendants de Bretagne.

L' idée : Réunir les auteurs indépendants, les revues ou éditeurs qui ne sont pas dans les grands réseaux, les personnes qui cherchent un éditeur mais surtout permettre de valoriser l'écriture, ses effets et son importance dans nos vies, dans nos villes, dans tous les espaces.

Par ailleurs, la Mairie à organisé l'Odysée des mots et repis le concept de Zut et Zet avec des «  chaudrons » , nous ferons deux ateliers pour cet évenement , ceci sans doute à cause de notre intervention auprès de l'élu. Mais entre un budget pour l'Odysée des mots organisé par la mairie de 45000 euros plus la présence du personnel et 1000 euros de la ville et 500 euros du conseil régional pour le Quai des écrits, se posent clairement la problèmatique de la « participation ».

Dépôt des livres des auteurs à l'écrithèque

Licenciement de Catherine Marc ( Non reconduction de l'adulte relais)

Préparation «  Quai des ecrits 2010 »

Dossiers financements et aides techniques déposés au 30 septembre à la mairie

Dossier expédié à la Région fin octobre . Préparation budget CUCS

2011 : Le quai des Ecrits Création du LIVRE OUVERT  exposition dans le Jardin de l'évêché, au salon du Goéland Masqué  à Penmarch' , à Gouesanch' , page pour le college Max Jacob à Quimper, partenariat avec IF . 

 

2012 Le Quai des Ecrits à Penvillers

2013 : Le Quai des Ecrits à Crozon  Crétaion d'ateliers à Saint-Evarzec, PLoneour, Audierne, Clohars-Fouesnant, Tregunc, Crozon

2014 Quai des Ecrits à Crozon . Obtention du numéro pour être organisme de formation 

 

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